Dans le numéro d’été de la revue Catholica, belle recension de Nous et les autres par l’écrivain Eric Werner : « On est très loin d’une conception qu’on pourrait qualifier de positiviste », à plus forte raison encore de déterministe, de l’identité, au sens où les gens seraient programmés à être ce qu’ils sont, sans échappatoire possible ».