Le « Bloc-notes » de Bernard Langlois

Dans son « Bloc-notes » hebdomadaire publié dans le journal Politis, Bernard Langlois écrivait hier (30 avril) : « Ce n’est pas parce que certains considèrent Alain de Benoist comme le diable que je me priverai de dire du bien de Demain, la décroissance, un essai bien intéressant, notamment dans sa dimension philosophique ».

Alain de Benoist à Radio-Courtoisie

De 12 h à 13 h 30, Alain de Benoist sera aujourd’hui, sur Radio-Courtoisie, l’invité de François de Sainte-Marie pour une émission où l’on parlera, notamment, de Mai 68 et des perspectives actuelles de l’écologie.

« Il Maggio francese »

Traduit par Maurizio Cabona, l’article d’Alain de Benoist sur Mai 68 occupe ce matin une pleine page du quotidien milanais Il Giornale : « ’68 De Benoist: Il Maggio francese ? Non è tutto da buttare » (p. 30).

Capitalisme

La traduction italienne du texte d’orientation d’Alain de Benoist sur « Le troisième âge du capitalisme », paru à l’origine dans Critiques – Théoriques, a été placée sur le site Internet du Centro Studi La Runa.

La violence vue d’outre-Rhin

L’hebdomadaire Junge Freiheit a fait paraître hier (25 avril) la traduction intégrale de la « Réflexion sur la violence » publiée par Alain de Benoist dans le dernier numéro d’Eléments : « Früchte des Zorns » (p. 11).

Sur Mai 68

A l’occasion du 40e anniversaire des événements de Mai 1968, Alain de Benoist a rédigé un texte qui est aujourd’hui diffusé sur le site Internet Vox-nr. « L’histoire de Mai 68, écrit-il, fut celle d’une passion qui s’est dissoute dans le jeu des intérêts ».

Un regard germanique

La revue « ludendorffienne » Mensch und Maß publie, dans son numéro du 23 avril, une analyse critique sur « l’antiracisme d’Alain de Benoist » signée par Heidrun Beißwenger (« Der Antirassismus des Alain de Benoist », pp. 350-362).

Proudhon, Berth, Maurras

Dans le journal quotidien Présent (19 avril), Yves Chiron fait un compte rendu des deux livres récemment préfacés par Alain de Benoist, Les méfaits des intellectuels, d’Edouard Berth (Krisis), et la réédition des Cahiers du Cercle Proudhon (Avatar), soulignant au passage qu’Alain de Benoist « illustre, de manière détaillée, les relations entre Sorel, Valois, Berth et Maurras ».