Dans Minute, Joël Prieur évoque la bibliographie des écrits d’Alain de Benoist. On y voit à l’½uvre, écrit-il, « une pensée toujours à l’avant-garde, se renouvelant sans cesse dans un travail obstiné et se diffusant partout dans le monde, sans doute plus en Italie ou en Allemagne [?] ce qui explique, sans le justifier, l’ostracisme, l’exil intérieur dont est victime un penseur qui, lorsqu’on en fait le bilan, n’a guère d’équivalent aujourd’hui ». Joël Prieur avait déjà consacré, le 16 décembre, un autre article au recueil Au temps des idéologies « à la mode » (« Jeunesse d’une pensée », p. 14).