Joël Prieur, dans Minute du 16 janvier, consacre sa chronique hebdomadaire au dernier livre d’Alain de Benoist, Demain, la décroissance : « Cet impératif né de l’urgence nous invite avant tout – Alain de Benoist l’explique avec un vrai bonheur d’expression – à une révolution culturelle qui pourrait se formuler comme l’alliance réussie des antimodernes et des postmodernes, de ceux qui sont attachés, en réaction contre l’idéologie du progrès, aux limites terrestres de la nature humaine, et de ceux qui entendent rompre avec l’idéologie productiviste issue du capitalisme ».